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Malika Matoub répond aux questions des internautes du Matin
Le 16 Juin 2008 à 09h41

A l'occasion de la commémoration du 10ème anniversaire de l'assassinat de Matoub Lounès, sa sœur Malika répond aux questions des lecteurs du Matin-DZ.

Mohand ATHATTAF : Azul, Certains pensent que tu as été manipulée par des individus hostiles au RCD pour accuser publiquement ce dernier. D'autres affirment que le statu quo vous arrange, l'assassinat de Lounès est devenu un fond de commerce, voir un grand business pour vous. Pourquoi vous avez tout fait jusqu'a l'accuser de complicité pour marginaliser la veuve de Lounès? Qu'elles étaient tes relations avec le RCD avant l'assassinat de Lounès? Tanmirt

Malika MATOUB : Au lieu de poser des questions sur ce que pensent « certains », pourquoi tu poses pas ta question sur ce que toi tu penses. J'aurai aimé que tu t'adresses à moi directement au lieu de passer par ceux qui pensent ou ceux qui affirment que…Par correction, je vais te répondre, mais au lieu de répondre à la question que tu n'as pas posée, je vais répondre par le biais de ceux qui pensent ou qui affirment.Pour être clair et honnête avec toi, sa m'importe peu ceux qui pensent ou affirment. Ceux qui m'intéressent, ce sont ceux qui comme moi veulent savoir. Savoir qui a tué MATOUB. Ceux qui pensent ou affirment n'ont pas mené d'enquête depuis dix ans et c'est ceux qui mènent des enquêtes qui m'intéressent. Ceux qui pensent ou affirment n'ont pas mené des investigations depuis dix ans pour présenter un dossier qui va mettre à nu le pouvoir algérien, ce travail c'est moi qui l'ai fait avec les gens qui travaillent, pas avec ceux qui pensent ou affirment. Si je peux me permettre, rappelle toi la fable de Lafontaine, La Cigale et la Fourmi, il arrivera un jour où nous affirmerons le fruit de notre travail et ce jour là tout le monde pourra penser ce qu'il voudra et affirmer ce qui lui plaira, mais sur la base de preuves, non pas sur la base de ce qu'on croit. N'oublie pas une chose, l'évidence est le contraire de l'apparence. Concernant le RCD, j'étais militante dans ce parti, mon mari aussi, mon père aussi. Mon frère aussi, même s'il n'était pas adhérent, il l'a soutenu à l'époque où nous croyions toutes et tous que ce parti représentait une alternative à la survie et à la protection de la Kabylie et au développement de l'Algérie.

Aujourd'hui, je soutiendrai volontairement ce parti si ces dirigeants acceptaient de se mettre à table et m'apporter des preuves tangibles sur l'identité des assassins de mon frère. Cela fait dix ans que je me bats pour faire toute la lumière sur cet assassinat, pourquoi s'opposent-ils à cette revendication légitime ? Avant l'assassinat de mon frère, nous étions en très bons termes avec les frères SADI. Et même après l'assassinat, les premières personnes sur qui je me suis appuyée, ce sont eux. C'est ensuite que les choses ont changé, et c'est eux qui m'ont fait soulever les doutes. Ils m'ont interdit de poser des questions, voire même de réfléchir. Ils ont tracé ma conduite, ils m'ont écrit un scénario qui m'interdisait de montrer du doigt le pouvoir sans jamais me convaincre de l'identité des assassins de mon frère. C'est pour cela que les choses se sont gâtées entre nous. Quand j'ai réalisée, quelques semaines après l'assassinat de mon frère, que ceux qui devaient me soutenir étaient ceux qui m'interdisaient de m'exprimer, j'ai pris mes distances et c'est là que les réels problèmes ont commencé pour moi. Ces problèmes durent depuis dix ans. J'invite encore aujourd'hui, les dirigeants de ce parti, quand ils veulent et où ils veulent, dans une entière transparence, à débattre sur l'assassinat de Lounès. J'ai beaucoup de questions à leur poser, accepteraient-ils d'y répondre. De toute façon, ils auront un jour ou l'autre, l'obligation d'y répondre, devant le peuple ou devant un tribunal.

Abdenour : Il est très simple de s'installer derrière son ordinateur et de s'adonner à des commérages. RCD ceci, FFS cela, fils de AMIROUCHE OU MIRA. MALIKA, « hadher echan adhamirouh ». Ton frère te l'a bien dit « SES ASSASSINS son les arabo-baathistes ils ne digèrent toujours pas que feu Lounès soit particulièrement un fervent défenseur de la laïcité. Aussi je te demanderai de bien vouloir mettre en exergue, dans tes commentaires, les véritables positions de Lounès vis à vis des religions en général et de l'obscurantisme islamiste en particulier...

Malika MATOUB : Tu as raison, mon cher Abdenour, et c'est une surprise pour personne. Les positions de Lounès par rapport aux religions sont claires. Il a lutté contre toute forme d'obscurantisme et tout particulièrement celui de l'islamisme politique. C'est aussi mes positions et j'en suis victime puisque j'ai fait mes études en Algérie sous la dictature islamo-baathiste imposée. Tu as aussi peut-être raison de penser que les arabo baathistes auraient pu commanditer l'assassinat de Lounès parce qu'ils ne supportaient pas ses positions pour la laïcité, et qu'ils ne digèreraient toujours pas cette position. C'est ton avis et je le respecte. Par rapport à ça, je tiens à te répondre pour te dire que depuis dix ans, je n'ai subi aucune agression de la part de militants ou partisans arabo baathistes à moins que ces derniers soient au RCD. Mon problème depuis dix ans vient de ceux que tu as cités au début de ton questionnaire qui n'est n'en est pas vraiment un mais surtout une appréciation de ta part. Je ne fais aucun commérage et je n'ai aucun plaisir à m'installer devant un ordinateur. J'ai autre chose à faire que donner mon avis sur untel ou un autre. J'alimente depuis dix ans, avec des éléments recueillis sur des faits, une véritable raison de mener une enquête sur l'assassinat de mon frère, votre frère à tous. Maintenant, si mon frère t'a adressé l'information de qui l'a tué après son assassinat, fais le moi savoir. Sinon, je te demanderai un peu de retenue. Merci.

Amazigh : AZUL à la famille bien proche de notre grande fierté, MATOUB RABI YARHMOU n'est pas mort dans nos têtes et nos coeurs (je parle bien sûr des authentiques et sincères patriotes), mais je l'ai imaginé très bénéfique au mouvement de 2001, ils l'ont tué car ils ne veulent pas de la vraie démocratie. Chère soeur Malika, est ce que tu peux nous dire ta vraie vérité sur ses assassins? Les Héros ne meurent pas, ils restent à jamais VIVANTS dans nos mémoires, ils sont notre lumière...

Malika MATOUB : Je préfère te savoir croire que les héros ne meurent jamais, j'aimerai tellement être à ta place. En ce qui me concerne, je suis toujours à la recherche de ses assassins, parce que pour moi, même si le poète ne peut mourir, ils ont bien tué mon frère unique, mon frère de sang et ça, ça fait mal depuis dix ans. Je te promets que quand je connaîtrai ceux qui ont fait ça, je te le ferai savoir. A bientôt.

Mmi-s umazigh : AZUL FELAM a Malika. Merci pour tout ce que vous avez fait jusqu'ici en mémoire de MATOUB Lounès. Ses assassins, nous les connaissons tout comme vous. Ils sont à chercher du côté du RCD. J'espère qu'ils le paieront un jour ! Mes questions : 1. Avant sa mort, Lounès a-t-il eu un sursaut de lucidité concernant ces individus nauséabonds qui se disaient être ses amis ? Si oui, allait-il dénoncer leur complicité avec le pouvoir ? 2. Aura-t-on droit à un 2ème volume de « Mon nom est combat » avec des textes inédits de Lounès ? 3. Que pensez-vous de la situation actuelle en Algérie (3ème mandat de Bouteflika, chrétiens persécutés, islamisme...) ? Qu'en aurait pensé Lounès selon vous ?

Malika MATOUB : AZUL, je vais essayer de répondre à tes différentes questions même si cela n'est pas facile. Pour la question n°1, huit mois avant son assassinat, depuis le mariage avec Nadia, sa troisième et dernière femme, Lounès n'étais plus accessible, ni à sa famille ni à ses amis, comme s'il avait été isolé. Durant cette période, j'étais souvent en Algérie, au village et en dehors des rares fois où j'avais l'occasion de discuter directement avec lui, je passais par l'intermédiaire de sa femme ou des proches de sa femme pour lui transmettre mes messages mais je savais, à force de n'avoir aucune réponse, que ces messages n'étaient pas transmis. C'est après son assassinat que j'ai découvert, grâce aux témoignages de ceux qui l'avaient côtoyé les derniers jours, qu'il était en conflit permanent avec ceux qui avaient à charge d'obtenir un visa pour sa femme. Et ces personnes sont les responsables du RCD, plus précisément Said SADI, Nordine AÏT-HAMOUDA et Amara BENYOUNES. Je sais qu'il s'est disputé avec Said SADI plusieurs fois au téléphone à propos de ce visa. Je ne sais pas pourquoi et comment cette demande de visa a due passer par ces gens là, mais je suis sûre d'une chose, c'est à cause de l'absence d'obtention de ce visa que Lounès s'est retrouvé en Algérie ce fameux 25 juin 1998, jour où il a été assassiné. Quand aux complicités de ses soit disants « amis politiques » avec le pouvoir, le temps nous aura donné raison et nous avons plus besoin de consulter ce que pensais Lounès. En ce qui me concerne, le fait qu'ils ont utilisé toute leur énergie depuis dix ans pour s'opposer à la tenue d'une enquête sur l'assassinat de Lounès me conforte sur ce qu'ils sont. Pour la question n°2, concernant le deuxième volume de « Mon nom est combat », je te rassure que je souhaiterai comme toi, que la veuve de Lounès, Nadia, mette à disposition de l'auteur, le reste des textes inédits contenus dans le livre noir de Lounès, et qu'on découvre ensemble, comme cela a été le cas dans le volume 1, des nouveaux textes qui dévoileront ce que pensait Lounès les derniers jours précédent son assassinat. Je suis honorée de constater que tu as lu ce livre et que tu as constaté qu'à la page 208, le texte inédit de Lounès aura retenu ton attention. NEMSELHA-D ARMI D ASSA est un texte qui est révélateur. Je l'ai découvert au même titre que toi, à la sortie de ce livre en 2004. Les autres textes ne sont pas en ma possession, sinon je serais informée de leur contenu et s'il en avait été nécessaire, je les aurais rendus publics depuis bien longtemps.Pour la question n°3, je te dirai que malgré tout, je reste optimiste pour ma Kabylie que j'aime. Le troisième mandat de Bouteflika ou l'arrivée d'un autre ne changera pas ma détermination à continuer mon combat pour faire la lumière sur l'assassinat de mon frère, ni ne m'empêchera avec la Fondation de véhiculer son message pour les générations futures. Je dis « malgré tout » parce que ce qui m'inquiète le plus dans mon pays, c'est l'immaturité politique de mes compatriotes. En 2004, lors du scrutin initié par Bouteflika pour la pseudo réconciliation, j'ai été accomplir mon devoir civique pour dire NON à cette intrusion qui annonçait l'impunité des crimes commis dans mon pays et je me suis retrouvée seule, devant un résultat qui disait que « 95% » des algériens étaient contre moi en votant pour le OUI. Le pire, c'est que ceux que je croyais être avec moi se sont non seulement abstenus, répondant à l'appel au boycott initié par nos élites défaillantes, au lieu de s'opposer démocratiquement à cette loi scélérate. De plus, ils m'ont accusée d'avoir soutenu les bourreaux de l'Algérie qui ont assassiné mon frère. D'une autre manière, ils ont voté à ma place. Quand à la situation que vit notre pays, les atteintes aux libertés quelle que soit la forme et la manière, je ne peux que m'indigner devant une telle violation des droits de l'homme. Mon frère l'a chanté durant toute sa vie, moi je lui ai fait le serment de véhiculer son message durant le temps qu'il me restera à vivre, je transmettrai cette mission à mes enfants. Mais un message, aussi puissant soit-il, ne peut avoir d'impact que s'il est entendu.

Amchiche : - Quelle fut votre relation (la tienne et celle d'Aldjia Ath Ouali) avec Lounes ? - Depuis la mort de Lounes, vous avez un fond de commerce de la mémoire de Lounes pour ne pas dire que vous l'avez bradée; croyez vous que Lounes aurait fait la bise à Bouteflika ? - Elle était destinée à qui la chanson Ayen Ayen ? –

Malika MATOUB : Je ne sais pas si tu as une sœur et j'espère pour toi que tu as encore ta mère. Dans ce cas là, tu dois savoir quelles sont les relations entre une mère et son fils et celle d'un frère avec sa sœur.Pour le fond de commerce, cela fait dix ans que vous répétez la même chose, vous en avez pas marre ?J'ai pas souvenir que ma mère ait embrassé BOUTEFLIKA ; On a pourtant vu les mêmes images. Par contre BOUTEFLIKA a eu l'honneur d'embrasser la mère de MATOUB Lounès qui lui a rappelé ses engagements et ses devoirs. Ce qu'elle a fait ce jour confirme qu'Aldjia ATH OUALI est une grande dame.Si tu n'as pas compris pour qui était destinée la chanson Ayen Ayen, il faut bien la réécouter, tu comprendras. Par contre le titre on peut le ré attribuer à tes chefs politiques, c'est une question qui les concernent.

Rara Boghni : AZUL Malika, étant un très fan de MATOUB LOUNES, je crois que la vérité sur l'assassinat de lounès, je ne la saurais pas tant que la SECTE du FLN est toujours au pouvoir. La vérité sur son assassinat viendra le jour où un vrai président AMAZIGH sera aux commandes de l' Algérie. Thanmirth et bon courage à toi et à ta maman. Et j'aimerai bien voir le nom de MATOUB LOUNES sur un futur stade, aéroport, université, théâtre, grande salle de spectacle.......Thanmirth.

Malika MATOUB : Merci RARA n'BOGHNI pour ton message. Tu as raison le FLN c'est le géniteur du système qui a mené l'Algérie dans le précipice. Mais si la vérité sur l'assassinat de Lounès devait venir d'un président Amazigh, on n'est pas près de savoir la vérité. Pour le reste, quand on placera des gens probes dans le ministère du sport, des transports, de l'éducation ou de la culture, on pourra y croire. En attendant, il nous est toujours permis de rêver. A bientôt.

Ahcène : Depuis toujours le problème de la Kabylie est le kabyle en personne peut être qu'un jour on va s'unir et arriver a nos fins, mais une chose est sure pas en s'accusant entre nous, alors arrête d'accuser à tort et à travers Said Saadi et le RCD et si tu as des preuves il faut les dire. Amicalement

Malika MATOUB : Tu as entièrement raison mon frère, le problème de la Kabylie réside sur le kabyle lui-même. Mon frère a chanté : « Leqvayel si zman aka, di tagmats i gui tsuren ». Tu as entièrement raison aussi quand tu dis qu'il faut arrêter de s'accuser. Mais ton souhait à travers tes sages paroles, aura de valeur que lorsque nous arrêterons de nous entretuer. Tanmirth.

Mouloud Amazigh : Malika BOUKHTOUCHE, il vaut mieux vous occuper de l'argent que Lounès vous a légué. Tout est question d'argent, vous et Nadia. Vous avez été en justice pour décrédibiliser le RCD. Vous aviez été débouté. Alors taisez-vous, vous me faites pitié. De son vivant, MATOUB ne vous supportait pas ainsi que votre mari qui court vers l'appât du gain.

Malika MATOUB : Assirem, c'est le prénom qu'a donné Lounès, mon frère, à mon fils, son neveu. Il a aujourd'hui 11 ans, il est beau, fort et intelligent. Nous l'avons éduqué mon mari et moi pour qu'il apprenne toutes les valeurs qui font la qualité des Imazighens. Nous lui avons appris aussi à ne jamais exprimer de haine, nous lui avons aussi appris à toujours partager avec les autres, surtout avec les plus démunis. Nous lui avons appris à respecter autrui et aimer son prochain. Je pense, sans vouloir t'offenser, qu'il est tout à fait le contraire de toi. Avec tout le respect que j'ai pour toi, nous n'avons pas les mêmes valeurs et nous ne menons pas le même combat. Merci.

Samir : D'après toi, qui est derrière l'assassinat de ton frère ellah yarhmou.

Malika MATOUB : Je sais que c'est incorrect de répondre à une question par une question mais j'ai envie de te dire : Et toi, d'après toi, qui est derrière l'assassinat de mon frère ? Pour ma part, je te promets que quand je le saurais, je te le dirais, c'est promis. AR

Karim : Malika, pourquoi les jours de l'assassinat de ton frère allah irahmou, tu avais dis sur la chaine de télévision française en réponse a une question que les assassins sont connus et que c'est le GIA et que la question ne devrais être posée même pas que c'est connue .et maintenant comme tu n'as rien a faire tu vas encore accuser le pouvoir en croyant emmener tout les kabyles derrière toi pour te faire une publicité. Il faut battre le fer quand il es chaud.

Malika MATOUB : Tout simplement parce que je me suis trompée le premier jour qui a suivi l'assassinat de mon frère. J'ai fait des déclarations sur la base de ce qui m'avait été transmis le jour même par « Les amis politiques de Lounès » et quelques jours après, je me suis rendu compte que j'avais été moi-même menée en bateau. Tout le monde fait des erreurs, pourquoi tu me condamnes parce que je me suis trompée. De quel bord faits-tu partie ? Si c'est celui de l'intolérance, je ne vois pas ce que tu faits sur un forum qui débat sur l'assassinat de Lounès MATOUB. Sans rancune j'espère.

Hocine : Pourquoi "ils" ont assassiné lounas?????

Malika MATOUB : Parce que Lounès avait encore beaucoup de choses à dire qui les dérangeaient.

Menouer : Bonjour ne penses-tu pas que tu t'est hasardée en incriminant des gens qui mènent le même combat que Lounès, moi je considère grave le fait de porter atteinte a des personnalités qui sont en dehors de l'assassinat de notre frère a tous, et si tu crois que la justice algérienne trouvera l'assassin, tu te trompes énormément. Une petite question: est ce que quelque fois tu ne remets pas en cause certaines de tes déclarations. il n y a que le bon dieu qui ne se trompe pas. Thanmirth.

Malika MATOUB : Moi je dirai plutôt qu'il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais. Mon cher Menouar, je ne me suis hasardée nulle part, ce n'est par hasard que j'ai soupçonné des gens mais suite à leur comportement. Les personnes dont tu parles et si on parle des mêmes bien sûr, ont reconnu s'être trompé de peuple. Quand on se trompe de peuple, on peut aussi se tromper de combat. Une chose qui est sûre, ils ne se sont pas trompé de cible pour assouvir leurs fantasmes politiques, sinon nous n'en serions pas là aujourd'hui. La justice algérienne, certes, ne désignera aucun assassin tant qu'elle sera au service de ces derniers.

Lire : Deuxième partie

Source: Le matin ( http://www.lematindz.net/ )


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